LE MOIS DU CHÊNE et du BARDE.

DU 10 juin au 7 juillet.

Le CHÊNE VERT le septième arbre de l'astrologie druidique correspond à la lettre D (Duir) de l’alphabet des arbres.
"LE COMBAT DES ARBRES", un BARDE auteur de ce manuscrit, chante que "LE CHÊNE est le vaillant gardien de la porte et qu'il est célèbre en tous lieux".



Les BARDES chantaient dans nos forêts celtique comme les homérides sur les rives de la Grèce et de l'Ionie.
Mais leurs chants sont morts avec la nationalité celtique puis  gauloise, l'épée romaine a coupé les vieilles forêts et moissonné la vieille poésie de la Gaule.
Le CHÊNE est un symbole de la toute-puissance divine par sa majesté et sa longévité exceptionnelle, certains atteignent 2.000 ans.
Le CHÊNE est un arbre de force, de beauté et de sagesse, est un arbre nourricier, et les premiers hommes se nourrissaient de ses glands.

Les Gaulois et les druides se rassemblaient sous son feuillage dès qu'un péril se présentait.
Le CHÊNE est l'arbre le plus fort, le plus imposant, et le plus utile, était considéré comme le ROI de la VÉGÉTATION, de même que l'AIGLE était le ROI des ANIMAUX.
Abattre un CHÊNE était un acte criminel. Il est dommage que de notre temps, il n'en soit plus ainsi.
Le CHÊNE est un instrument de communication entre le Ciel et la Terre.



"Le feuillage divin du grand CHÊNE" inspire toujours les magiciens qui viennent rêver sous son feuillage, y cueillir le gui et manger les glands.
Le CHÊNE est le père du gui. Cette panacée universelle et remède ancestral, vénéré par les druides, étaient, d'après eux, "semés sur le CHÊNE par une main divine".
Le Gui coupé, était alors immergé dans l'eau lustrale. Et tous chantaient en chœur "Au Gui l'an neuf".

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