LA MĀYĀ LA LUNE est le MIRAGE d'ÉTÉ.

LA MĀYĀ

LA LUNE est le MIRAGE d'ÉTÉ.

MĀYĀ "signifie magie" donc tout autant tromperie que créativité.

La MĀYĀ est l'illusion d'un monde physique que notre "Conscience" considère comme la réalité.
De nombreux philosophes ou recherches spirituelles cherchent à "percer le voile" afin d'apercevoir la vérité transcendante d'où s'écoule l'illusion d'une réalité physique.
La Lune, à la fois fécondité et illusion, est la māyā, mot qui s'inscrit, du reste illusion, la puissance insondable qui réside dans l'ultime Réalité.


Elle "projette" l'Univers matériel et tout ce qu'il enferme de par le libre jeu de la Divinité.
De même, qu'une jarre ne peut emprisonner qu'un moment le vide, l'air qui se trouve en elle, l'âme individuelle doit retourner à l'âme universelle.
La force qui casse la jarre, réalisant ce départ, cette fusion est la mort (symbolisée en astrologie par le Scorpion, la maison VIII et la planète Pluton).

Étant la māyā, la Lune est le mirage, l'incarnation présente dans sa totalité. C'est la foule, l'éclipse qui crée l'illusion, etc...
- La maison IV, le signe du Cancer, et la Lune gouverne, la famille, la fécondité, la fin de vie, les pouvoirs cachés, également de la fécondité.
Ce signe est dit "cardinal ", car il commence une saison - l'été.
Son élément est l'Eau. Chaque incarnation représente en somme une plongée dans le monde de la māyā, de l'illusion, dans ce monde des sens, le monde faux, le monde qui nous dérobe à la véritable unité.


- Dans les textes indiens qui commençaient à être connus en Occident, reprend le terme, de "voile de māyā" pour décrire sa conception du monde comme volonté et représentation.

C'est la māyā, "le voile", les yeux des mortels, leur fait voir un monde dont on ne peut dire, s'il est ou
s'il n'est pas, un monde qui ressemble au Rêve.

Les Étoiles et Votre Destin !

Son élément est l'Eau. Chaque incarnation représente en somme une plongée dans le monde de la Maya, de l'illusion, dans ce monde des sens, le monde faux, le monde qui nous dérobe à la véritable unité.
- Dans les textes indiens qui commençaient à être connus en Occident, reprend le terme, de "voile de māyā" pour décrire sa conception du monde comme volonté et représentation.
C'est la māyā, "le voile" , les yeux des mortels, leur fait voir un monde dont on ne peut dire, s'il est ou s'il n'est pas, un monde qui ressemble au Rêve.

"C'est à l'intérieur de ce corps même, tout mortel qu'il est et de six pieds de long seulement, que sont, je vous le déclare, le monde et l'origine du monde, et la fin du monde, et pareillement le chemin qui mène à toute cessation" . Le Bouddha.

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